Critique – Rien de plus précieux que le repos Yamina Benahmed Daho
Mississippi. 1863. Deux ans avant l’abolition de l’esclavage sur l’ensemble du territoire américain. Exploité par les propriétaires d’une plantation de coton, un groupe d’esclaves s’empare d’un chou et invente un jeu collectif. C’est cette prise de conscience de l’importance de la solidarité qui va déclencher la libération du groupe.
Fable sur la liberté, « Rien de plus précieux que le repos » fera réfléchir les plus jeunes.
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