Critique – Les blessures invisibles – Nicholas Evans
Tom est un jeune garçon qui vit dans ses rêves peuplés d’acteurs de westerns. Il est entouré de parents trop âgés et d’une sœur qu’il adore. Soi-disant pour lui donner une bonne éducation, ses géniteurs l’envoient dans un pensionnat alors qu’il n’a que huit ans. Il subit – rappelons que nous sommes en Angleterre – châtiments corporels et diverses humiliations. Près de cinquante ans plus tard, nous retrouvons notre Tom divorcé, ancien alcoolique et père d’un garçon engagé en Irak et accusé d’avoir massacré des civils.
Vers la page 100, on apprend, comme annoncé sur la quatrième de couverture, un terrible secret de famille.
Pour ménager le suspense et dramatiser l’histoire, les romanciers ont souvent recours à ces fameux secrets. Pourquoi pas ? Mais là, je ne sais pas pourquoi, ça ne passe pas. J’ai trouvé le style un peu plat et, malgré l’avalanche de malheurs qui frappent notre héros, je n’ai ressenti aucune compassion pour lui.
Top, c’est trop. J’ai abandonné au bout d’une centaine de pages.
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