Chez Actes Sud, les quatrièmes de couverture sont (volontairement ?) souvent absconses et ne donnent pas toujours envie de lire le roman dont il est question alors que, la plupart du temps, le contenu du livre est beaucoup plus fluide que le résumé le concernant. Chacun sait, en effet, que cette maison d’édition publie des ouvrages de bonne facture.

Cette fois-ci, l’un et l’autre concordent.

Je n’ai en effet pas adhéré à cette Laura qui voit dans ses rêves une maison dans la brume, qui rencontre un petit garçon qui disparaît comme avalé par un appartement, qui craint d’avoir hérité de la maladie de son père (la maladie de Huntington, alias Lady Hunt)…

Je n’ai pas saisi le fil conducteur de ce roman entre rêve et réalité. On ne sait pas où l’auteur veut nous emmener.

Dommage car c’est plutôt bien écrit.