Critique – Automobile Club d’Egypte – Alaa El Aswani
Comme dans ses précédents livres, « L’immeuble Yacoubian » et « J’aurais voulu être égyptien », moins dans « Chicago » qui est pour moi son meilleur roman, Alaa El Aswani ne fait pas dans la dentelle.
En lieu et place du fameux immeuble, c’est à l’Automobile Club, une espèce de société créée par les Britanniques, que se déroule une large partie de l’histoire. Sans compter la fourmillante capitale du Caire. Les méchants sont très méchants et les gentils très gentils. Les scènes charnelles sont bêtes à pleurer et on regrette que l’arrière-plan politique ne soit pas davantage présent. Je me demande encore pourquoi cet auteur bénéficie d’un tel engouement !
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