Je dois avoir un problème avec le Prix Nobel de littérature 2006 Ohran Pamuk. Après deux essais infructueux avec « Le livre noir » et « Neige » qui, j’avoue, me sont tombés des mains, j’ai voulu faire une ultime tentative avec son premier roman « Cevdet et ses fils » édité pour la première fois en France.

Avec le portrait de Cevdet Bey et de sa descendance, l’auteur entend nous faire vivre plus de soixante-dix ans de l’histoire d’une Turquie hésitant toujours entre la tradition et la modernité.

Trop de personnages, des dialogues qui tournent en rond… Au bout de 160 pages, sur une somme qui en compte plus de 700, j’ai refermé le livre.