Critique – La soeur – Sandor Marai
Seconde guerre mondiale. Une auberge perdue dans la montagne. Le narrateur de la première partie, compagnon de voyage du héros de ce livre, raconte sa rencontre avec celui qui fut un grand pianiste mais qui, confronté à la maladie, cessa de jouer.
Cet homme est une énigme et, c’est dans un second temps, que notre conteur va lever le voile sur le secret du concertiste après avoir reçu un manuscrit de sa part.
J’ai beaucoup aimé les accents « Mitteleuropa » des 80 premières pages écrites par l’un des plus célèbres auteurs hongrois mort par suicide en 1989.
En revanche, lorsque le personnage principal décrit les affres de la maladie et ses effets sur son génie artistique, je me suis ennuyée et ai refermé le livre.
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