Malgré leur idéologie terroriste, les talibans ne sont pas des gens bien malins. En Afghanistan, ils ont interdit la musique, ils ont obligé les femmes à se couvrir d’une burqa mais ils ont autorisé la formation d’équipes de cricket qui devront s’affronter, la gagnante empochant un billet pour le Pakistan afin de jouer contre d’autres clubs.

Le sport, et le cricket en particulier avec ses règles qui prônent la non-violence, devient un moyen de gagner la liberté.

Pour Rukhsana, c’est l’occasion rêvée de fuir son pays. Ayant pratiqué cette discipline alors qu’elle faisait ses études en Inde, la jeune journaliste devient le coach du team composé de son frère et de son cousin.

Si la première partie, qui décrit si bien la vie des Afghans sous le joug des barbus, m’a plu, le seconde partie, qui dégouline de sentimentalisme, m’a ennuyée.

Et que de longueurs !