Critique – Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps – Florence Colombani
Rendre compte des relations entre Victor Hugo et sa fille Léopoldine tragiquement disparue à l’âge de 19 ans était le pari de Florence Colombani. Malgré un style un peu pompeux (surtout au début) et un côté répétitif, elle parvient à nous entraîner au coeur du siècle du romantisme au cours duquel sentiments et irrationalité étaient valorisés par les écrivains et les poètes.
Elle nous révèle aussi à quel point la passion de l’égocentrique génie pour son aînée et la douleur occasionnée par la perte de son enfant chérie ont influencé son oeuvre.
Freud aurait bien aimé allonger Victor sur son divan !
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