Critique – Ce qu’on peut lire dans l’air – Dibaw Mengestu
Encore une histoire d’émigrés qui ont fui leur pays pour rejoindre le rêve américain.
Un style bavard, « facile » (dans le sens de manque d’originalité mais peut-être est-ce dû à la traduction) m’a fait abandonner la lecture au bout d’une quarantaine de pages.
En revanche, je me laisserai bien tenter par « Les belles choses que porte le ciel », premier roman de l’auteur, dont j’ai entendu le plus grand bien.
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