Critique – Docteur Sleep – Stephen King
Danny Torrance, le petit garçon de « The Shining » doté d’un Don, est de retour. Devenu adulte, il a suivi l’exemple de son père en devenant un alcoolique. Une maladie dont il va réussir à se débarrasser en fréquentant les AA. Doué d’empathie, il aide ses congénères à mourir dans la quiétude. Jusqu’au jour où son esprit croise celui d’Abra, une jeune adolescente aux pouvoirs encore plus puissants que les siens. Les voilà armés tous les deux pour éradiquer le Noeud Vrai, un groupe de morts-vivants qui se nourrissent des vapeurs dégagées par les enfants pourvu du fameux Don.
Surfant sur le genre thriller fantastique, « Docteur Sleep » m’a un peu déçue. J’ai très peu frissonné (est-ce l’âge ou S. King s’est-il adouci depuis l’excellent « Ca »?), il y a des longueurs et le côté moralisateur du propos, dans la lignée des AA, m’a ennuyée.
Reste une belle histoire d’amitié et le plaisir de retrouver Dan et sa capacité de résilience.
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