Critique – Long week-end – Joyce Maynard
Henry, 13 ans, vit seul avec sa mère depuis le départ de son père pour une autre femme. Profondément touchée par cette absence, Adele s’enfonce dans la solitude. C’est avec les mots de l’adolescent qu’est décrite avec délicatesse cette fuite de la réalité.
Obligée de sortir de chez elle pour remplir le frigo, la mère, accompagnée de son fils, fait la rencontre d’un homme blessé, Frank, qui vient de s’évader d’une prison. Ils décident de lui porter secours et de l’accueillir dans leur maison. Commence alors un étrange huis clos dans lequel le trio apprend à vivre ensemble, à se découvrir et à s’aimer.
Ce livre, certes plein de bons sentiments, est très agréable à lire. Roman d’initiation, il devrait séduire les grands ados et les jeunes adultes.
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