Critique – Tout peut arriver – Jonathan Tropper
Zach, la trentaine, a tout pour réussir. Il a un bon job, une fiancée sublime. Oui, mais voilà, il déteste son métier et en aime une autre qui se trouve être la veuve de son meilleur ami.
Pour parfaire le tableau, son père qu’il n’a pas revu depuis des années débarque dans sa vie.
Comme toujours chez Jonathan Tropper, il est question de la famille et des relations ambivalentes avec le père et la fratrie. Même si « Tout peut arriver » se lit avec un certain plaisir, je l’ai trouvé moins bon que « C’est ici que l’on se quitte ». Mais l’humour et l’émotion sont néanmoins présents.
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