Critique – La blessure la vraie – François Bégaudeau
Le narrateur a 15 ans en 1986. Ce Nantais retourne chaque été en Vendée. Cet adolescent un brin intello, mal dans sa peau, communiste tendance léniniste comme il se définit, est de nouveau assailli par ses pulsions sexuelles.
Encore puceau, il ne pense qu’à ça. Du coup, au bout d’un moment, malgré une bonne dose d’humour et une description plutôt bien vue de la France rurale des années 80, on finit par s’ennuyer. J’ai refermé le livre au bout de 180 pages (il en compte plus de 300).
A faire lire à un ado qui sera peut-être plus sensible aux obsessions de l’adolescence de François Bégaudeau.
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