Critique – Petit piment – Alain Mabanckou
Abandonné par sa mère, Petit Piment est recueilli dans un orphelinat . Cet endroit qui devrait être préservé subit les soubresauts de la révolution socialiste qui agite le Congo. La religion n’ayant plus bonne presse, Papa Moupela, le gentil prêtre qui animait le triste quotidien des enfants, disparaît.
Ne supportant plus la vie dans l’établissement, le jeune garçon fugue et trouve refuge chez Maman Fiat 500, tenancière d’un bordel.
Avec son sens du récit, Alain Mabanckou livre un roman picaresque où la petite histoire croise la grande.
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