Critique – Une parfaite journée parfaite – Martin Page
Chaque jour, le narrateur de ce court roman se suicide. Et, pour mettre fin à ses jours, il fait preuve d’une imagination débordante. Entre le Harold de « Harold et Maude » et la Chloé de « L’écume des jours » et le nénuphar qui pousse dans son poumon (lui, c’est un requin), le narrateur souligne la vacuité de nos existences avec un humour (noir) réjouissant.
Dans sa postface, Martin Page s’explique : « Une parfaite journée parfaite » est un roman sur le désespoir mais aussi sur les mécanismes compensatoires à mettre en oeuvre pour ne pas sombrer : la création, l’humour et la musique ». J’ajouterai la littérature.
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