Critique – La muraille de lave – Arnaldur Indridason
En l’absence du commissaire Erlendur parti en vacances, c’est son adjoint Sigurdur Oli qui va se coller à la résolution des enquêtes. Mais le subordonné n’a pas l’épaisseur psychologique de son patron. Il est même carrément antipathique et ses histoires de séparation d’avec sa femme ont peu d’intérêt.
Il est confronté à plusieurs affaires qui ont un lien entre elles: le décès d’une femme qui serait lié au chantage qu’elle exercerait dans une histoire d’échangisme, la disparition d’un homme parti en excursion avec des collègues de travail et un fait ancien de pédophilie qui remonte à la surface.
Il manque à « La muraille de lave » cette ambiance particulière que l’on avait dans les premiers romans d’Indridason et ces plongées dans le passé sombre de l’Islande. Reviens vite Erlendur.
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