Critique – La tour d’arsenic – Anne B. Ragde
Après la « Trilogie des Neshov », Balland a édité un texte écrit antérieurement par Anne B. Ragde, écrivaine norvégienne : un pavé de plus de 500 pages titré « La tour d’arsenic ».
Tout commence par l’annonce de la mort de Malie, la grand-mère de Therese, la narratrice de la première partie du roman qui en compte six. Elle assiste, médusée, à la joie qui s’empare de sa mère et de son oncle.
Pourquoi tant de haine ?
En racontant les parcours de plusieurs générations de femmes, l’auteur souligne combien les événements vécus dans l’enfance pèsent sur la vie d’adulte. Dans cette saga familiale, pas de place pour la résilience !
Grâce à une construction efficace, nous parcourons cette histoire avec intérêt même si elle est parfois pesante. On aurait aussi aimé que les fameux secrets de famille ne soient pas aussi évidents et que les personnages aient davantage de consistance.
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.
+ There are no comments
Add yours