Critique – Les chaussures italiennes – Henning Mankell
Responsable d’une erreur médicale, Fredrik a dû cesser ses activités de chirurgien. Par la force des choses, il se retire du monde et s’installe sur une île. Et l’isolement semble lui convenir. Seuls l’accompagnent un chien et une chatte, eux aussi vieillissants. Jusqu’au jour où surgit Harriet, un amour de jeunesse qu’il a lâchement abandonnée quarante ans plus tôt.
Cette rencontre, en lui révélant un secret, va bouleverser la petite vie tranquille qu’il s’était construite. Pour cet homme plutôt antipathique et égoïste, l’heure de la rédemption a sonné.
Plus connu pour ses romans policiers qui met en scène le célèbre commissaire Kurt Wallander, Henning Mankell prouve avec « Les chaussures italiennes » qu’il est aussi un écrivain de l’intime.
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