Critique – Profanation – Jussi Adler-Olsen
L’inspecteur Morck, personnage grognon, et son étrange adjoint d’origine syrienne, Assad, sont chargés des affaires non résolues. A ce duo improbable vient s’ajouter Rose, l’assistante fantasque qui a le don d’énerver ses collègues.
Alors que les flics danois s’apprêtent à recevoir une délégation norvégienne, un mystérieux dossier apparaît. Il revient sur une sordide affaire d’assassinats d’adolescents révélée vingt ans plus tôt. Une bande de jeunes nantis dont une fille Kimmie avait alors été soupçonnée mais le plus pauvre d’entre eux avait avoué les crimes. Le dossier avait été refermé.
Malgré les pressions venue de très haut, Morck va reprendre l’enquête et mettre au jour les turpitudes de la grande bourgeoisie danoise.
On suivra aussi avec effroi le personnage de Kimmie minée par la vengeance à l’instar de l’Alex de Pierre Lemaître.
« Profanation » nous offre une plongée dans un univers proche d’Orange mécanique.
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.
+ There are no comments
Add yours