Critique – Psycho killer – Anonyme

Critique – Psycho killer – Anonyme


« Psycho killer » est la dernière mouture de celui qui veut toujours rester anonyme, auteur de la déjantée tétralogie autour du personnage du Bourbon Kid.

On a un tueur mystérieux échappé d’un asile psychiatrique qui sévit dans une paisible bourgade des Etats-Unis. Flanqué d’un couperet, il tranche tout être humain à portée de sa main pour une raison qu’on connaîtra plus tard.

On a deux agents du FBI, dont l’un sur le retour, dépêchés pour arrêter le massacre.

Côté habitants de la petite ville, on a un tenancier de bordel (le Minou joyeux !) qui tient, grâce à ses liasses de dollars, toute la population à sa botte.

Le résultat : un bouquin bien rythmé, truffé de références aux films de série B ainsi qu’au cinéma gore et d’horreur.

Ceux qui ont l’âme sensible ont intérêt à passer leur chemin. En revanche, les amateurs de second degré devront passer un bon moment de lecture.

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