Critique – Que le diable l’emporte – Anonyme – Sonatine
De la « saga » du Bourbon Kid, j’ai raté les deux précédents épisodes. Après la lecture de « Que le diable l’emporte », huitième opus de la série, je n’ai pas de regrets.
L’effet de surprise du « Livre sans nom » s’est étiolé et ce qui faisait l’originalité du projet a vécu.
Le pipi, le caca et les variations autour du trou du cul, ça suffit.
J’ai bien sûr parfois souri en retrouvant les personnages récurrents pourchassés par des zombies mais le recette prend moins.
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