Critique – Même les cow-girls ont du vague à l’âme – Tom Robbins
Un titre attirant, un style brillant, une imagination débridée, des inventions lexicales, des dialogues déjantés, voici résumé ce qui m’a séduite dans ce roman publié en 1976 et adapté au cinéma par Gus Van Sant. Si la réalisation est parfaite, en revanche le scénario est plutôt faiblard.
En bref, l’histoire se résume à nous raconter la vie de Sissy Hankshaw, une enfant dotée de pouces géants qui pratique l’auto-stop comme une drogue. Elle fait des rencontres avec des personnages hauts en couleurs qui vont bouleverser sa vie. Je me suis arrêtée vers la page 200.
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