
Critique – Le ministère du bonheur suprême – Arundhati Roy – Gallimard
Après l’éreintante histoire d’Aftab l’hermaphrodite devenu Anjum par désir d’être une femme, j’ai abandonné ma lecture. Arundhati Roy devrait se contenter des essais pour dénoncer les travers de l’Inde : la misère, les haines religieuses, les désastres écologiques…
Son dernier roman, qui part dans tous les sens, truffé de références, est en effet bien indigeste.
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