Critique – La zone d’inconfort – Jonathan Franzen – L’Olivier
Jonathan a la quarantaine au décès de sa mère, une femme étouffante en partie responsable du mal-être de son fils à l’adolescence.
Bon élève, il a peu d’amis et sa sexualité reste au point mort. Sa collaboration à un groupe de jeunes protestants où prospère l’hypocrisie de la religion et sa participation à des frasques dignes de blagues de potaches, ne l’empêchent pas de s’ennuyer ferme dans ce Missouri des années 1970. Seule la lecture l’arrache à sa situation de garçon différent qui se plonge avec délectation dans les aventures de Charlie Brown et de Snoopy.
Plus tard, en étudiant à Munich, il découvrira Thomas Mann, Franz Kafka… Une révélation qui décidera de sa carrière d’écrivain. Au grand dam de ses parents qui rêvaient pour lui d’un avenir de scientifique.
Sur près de quarante ans, Jonathan Franzen se dévoile dans son intimité et dans ses prises de position politiques contre Bush dans sa gestion de Katrina, pour l’écologie…
C’est parfois intéressant mais l’ensemble m’a laissée plutôt indifférente.
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