Critique – Les vrais durs – T.C. Boyle – Grasset

Critique – Les vrais durs – T.C. Boyle – Grasset


Je suis T.C. Boyle depuis la publication de son premier roman, le magnifique « Water music ». Ce que j’aime chez lui, même si son œuvre est inégale, c’est, qu’en s’emparant de tous les thèmes qui agitent la société américaine, il n’écrit jamais le même livre.

Malheureusement, je n’ai pas réussi à rentrer dans « Les vrais durs ». Même si les personnages sont épatants – Sten, l’ancien Marine incarnation de la réussite sociale et de l’American Way of Life ; Adam, son fils à la fibre écolo atteint de psychose paranoïaque et délirante et qui se prend pour un trappeur du 19ème siècle ; Sara, adepte des théories du complot et qui refuse de se soumettre à toutes formes de règles et de loi -, la sauce ne prend pas et le récit traîne en longueur. Bref, j’ai laissé tomber vers la page 250.

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