Critique – Une lueur de paradis – John O’Hara
« Une lueur de paradis » a été édité en 1938, dix ans à peine après la Grande Dépression qui ruina des millions d’Américains. Pourtant, James Malley, scénariste à Hollywood, et Peggy Henderson, libraire, sont jeunes, beaux, amoureux et vivent dans l’insouciance.
Jusqu’à l’arrivée du père de la jeune femme qu’elle connaît à peine et qui va bouleverser l’existence des deux tourtereaux.
Commençant comme une comédie romantique américaine avec des dialogues enlevés et souvent drôles, le récit s’assombrit et le roman noir n’est pas loin. Même si John O’Hara est manifestement plus à l’aise dans le registre de la légèreté que dans celui du drame. N’est pas Billy Wilder (réalisateur du magnifique « Sunset Boulevard ») qui veut.
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