Critique – Le Caravage – 2 – La Grâce – Milo Manara – Glénat
Dans la seconde partie de son « Caravage », Milo Manara se concentre sur les cinq dernières années de la vie de l’immense peintre.
Après avoir tué un homme à Rome, Michelangelo se réfugie à Naples. Malgré le risque d’être arrêté, il continue à peindre jusqu’à sa mort mystérieuse en 1610.
Comment un homme au génie artistique aussi immense s’est-il laissé phagocyter et détruire par la violence ? Milo Manara ne donne pas la réponse mais il nous offre un bel album à la superbe iconographie, parmi laquelle des œuvres du maître incompris dont la marque de fabrique était de choisir ses modèles parmi les marginaux : prostituées, mendiants… Même pour peindre des scènes religieuses. De quoi choquer la bonne société de l’époque !
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.
+ There are no comments
Add yours