Même si sa mère est morte alors qu’elle était encore très jeune, Khadija a eu une enfance heureuse entourée d’un père épicier aimant qui décide un jour de repartir au Maroc.

Se retrouvant seule, elle finit par rencontrer un garçon prénommé Virgile. La rencontre n’a rien de romantique et le jeune homme est plutôt bas du plafond. Ils deviennent rapidement parents d’un petit garçon, partent habiter du côté de Cahors, région natale de Virgile, et se marient. Leur vie se déroule paisiblement jusqu’au jour où Virgile devient violent avec son épouse. Surprise, celle-ci hésite à réagir. Sentant son fils en danger, elle se résout à porter plainte auprès de la gendarmerie. Le mari est alors contraint de cesser tout contact avec sa famille. Jusqu’au jour où survient un événement (vers les ¾ du roman) que nous ne dévoilerons pas mais qui pourrait être comique si la situation n’était pas aussi tragique.

Je n’ai rien à reprocher à « Noces de verre » sinon qu’il ne m’a pas touchée. Un livre convenu pour décrire une situation malheureusement trop banale.