Critique – Plonger – Christophe Ono-dit-Biot – Gallimard
Dès le début, j’ai été agacée par cette histoire d’amour que le narrateur raconte à son fils.
A la page 17, on peut lire : « La vérité, ça n’existe pas, comme tous les absolus qu’on n’atteint jamais ». Ce genre d’affirmation vide de sens asséné avec assurance est insupportable. Et tout est du même acabit. Des références « en veux-tu en voilà » avec une préférence pour la mythologie pour faire cultivé, un style emphatique, des poncifs, des leçons de morale, une passion entre deux êtres que tout oppose… Bref, du déjà lu.
J’ai abandonné au bout d’une centaine de pages.
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