Didier Decoin nous refait le coup de l’enfant sauvage version amérindienne.

Nous sommes en 1890 aux Etas-Unis. A l’issue du massacre par l’armée américaine de plus d’une centaine d’Indiens, un jeune photographe anglais adopte une petite Sioux qu’il emmène avec lui dans son pays.

L’écriture, faussement savante, m’a agacée. En outre, il ne se passe pas grand chose et tout cela ne sonne pas juste. J’ai abandonné à la page 150. J’ai vraiment été déçue, d’autant plus que j’avais beaucoup aimé « Est-ce ainsi que les femmes meurent ? ».