Critique – Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres – Jordi Soler
Quant un jeune attaché culturel à l’ambassade du Mexique à Dublin, un certain Mr Lapin, président d’Artaud § Co, et un vieux poète se liguent pour retrouver la canne de Saint-Patrick qui aurait appartenu à Antonin Artaud, cela donne « Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres », un roman foutraque qui vaut surtout pour l’intimité qu’il crée avec le génial artiste.
Si l’écriture est enlevée, on reste sur sa faim après la lecture du dernier roman de l’auteur d’origine mexicaine. L’histoire ne tient en effet pas la route.
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