Après l’excellent et puissant « Purge », le peu emballant « Les vaches de Staline » et « Quand les colombes disparurent » qui m’est tombé des mains (à la page 190 tout de même), j’ai voulu me coller au dernier opus de l’écrivaine finlandaise édité en France. Il s’agit en fait de son deuxième roman qui fut publié dans son pays natal en 2005.

Cette fois-ci, elle abandonne l’évocation historique pour se consacrer au récit de la relation entre deux femmes goudous (« goût doux ») et dépressives qui, pour se faire un peu d’argent, montent une « entreprise » destinée à exploiter les perversités sexuelles des hommes.

Au bout de 83 pages, j’ai refermé ce roman qui ne m’a pas touchée.