Critique – Persona – Erik Axl Sund
Tout commence à la manière d’un polar moderne bien noir avec lots de cadavres de jeunes atrocement mutilés et de disparitions d’enfants.
Mais on se doute bien que le thème de cette trilogie dont « Persona » est le premier opus résumé dans le sous-titre « Les visages de Victoria Bergman » va nous plonger au cœur de la schizophrénie.
Je n’en dis pas plus et j’attends avec une certaine impatience la lecture du tome 2. En espérant qu’il sera aussi bien construit et qu’il ménagera autant le suspense.
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.
+ There are no comments
Add yours