Critique – La symphonie des spectres – John Gardner
Eh non, je ne vais pas me joindre au concert de louanges qui a entouré la réédition de ce « chef-d’oeuvre oublié de la littérature américaine » où il est question d’un certain Peter Mickelsson, prof de philo que sa femme a quitté.
Perclus de dettes, il décide néanmoins de s’acheter une maison, qui s’avérera hantée, au fin fond de la Pennsylvanie, à plus d’une heure de route de l’université.
Entre description du quotidien du « héros », de ses états d’âme et de grandes digressions philosophiques, j’avoue m’être ennuyée.
J’ai attendu jusqu’à la page 130 qu’il se passe quelque chose avant de refermer le livre.
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