Critique – Et la fureur ne s’est pas encore tue – Aharon Appelfeld
Bruno est né dans une famille de communistes roumains à une époque où il ne fait pas bon être juif.
Arrivé à la cinquantaine, il revient sur sa vie : son enfance, entourée par des parents aimants et soucieux de leurs prochains, son « séjour » dans un ghetto, sa fuite dans la forêt avec des camarades qui deviendront des frères pour ce fils unique amputé d’une main dans un mystérieux accident, sa brillante réussite dans le commerce et l’achat d’un château pour accueillir des déportés, une manière d’expier cette accumulation de biens matériels.
Je ne sais pas pourquoi mais cette histoire ne m’a pas touchée. Trop de religiosité peut-être ?
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