Un petit livre salutaire (présenté comme un ouvrage de vulgarisation mais qui ne l’est pas vraiment) dans lequel la philosophe s’interroge sur la violence intrinsèque que contiendraient certaines images. L’auteur nous répond que les images ne sont pas violentes en elle-mêmes mais que c’est le regard que l’individu ou la société porte sur elles qui détermine sa dureté.

D’où l’importance de l’éducation dans l’appréhension des images.