Critique – Daddy love – Joyce Carol Oates – Philippe Rey
Dans son œuvre très prolifique, Joyce Carol Oates s’attache à plonger le lecteur au cœur de la noirceur.
Alors que Robbie, 5 ans, accompagne sa mère au centre commercial, il est enlevé par un prédateur sexuel. Amateur de très jeunes enfants, ce pseudo pasteur de l’Église de l’Espoir éternel va exercer sur le petit garçon une emprise psychologique qui pose les questions de la manipulation et de la capacité de résilience de l’être humain.
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