Critique – Juste une mauvaise action – Elizabeth George

Critique – Juste une mauvaise action – Elizabeth George


Haddiyyah, la fille d’Azhar, a été enlevée par sa mère. Arrivée en Italie, elle disparaît de nouveau. Le sergent Barbara Havers, personnage central de cette histoire, déjà borderline dans les épisodes précédents, va ici se surpasser pour découvrir la vérité sur sa petite voisine.

Elizabeth George nous embarque pour des allers et retours entre l’Angleterre et l’Italie où s’opposent le flegme et l’efficacité britanniques à la dolce vita italienne faite de bons repas et d’incessantes pauses café. Une fracture culturelle qui peut prêter à sourire mais qui devient pesante…

Ce roman qui court sur près de 700 pages dont on aurait pu amputer plus d’un tiers n’est pas le meilleur de la plus anglaise des reines du crime américaines.

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