Critique – Les feuilles d’ombre – Desmond Hogan – Grasset
A l’aube de la quarantaine, Sean retourne vers sa jeunesse, celle de sa relation fraternelle avec Liam qui s’enrichit de rencontres avec Christine, Sarah et Jamesy. Dans cette Irlande d’après-guerre, l’insouciance devrait être de mise. D’autant plus que les cinq compères sont bien nés. Mais l’ombre du suicide de la mère de Liam dont le narrateur est secrètement amoureux et les bouleversements qui secouent le pays mettent en péril l’insouciance de cette jeunesse dorée.
Par petites touches impressionnistes, Desmond Hogan raconte avec une grâce poétique et un ton intimiste et nostalgique l’histoire d’une amitié qui se délite avec le tourbillon du temps qui passe.
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