Critique – Crue – Philippe Forest – Gallimard

Critique – Crue – Philippe Forest – Gallimard


Le narrateur est de retour dans la ville de son enfance.

Elle a tellement changé qu’il ne reconnaît presque plus son ancien quartier dont les immeubles semblent inhabités. Solitaire et dépressif depuis la mort de sa fille dont le décès plus récent de sa mère fait écho, il adopte un chat, rencontre une femme pianiste et un homme obsédé par les « revenus ». Tous disparaissent.

Réflexion philosophique sur la vie qui ne serait que néant, « Crue » m’a globalement déçue. J’ai bien aimé la première partie qui nous fait ressentir avec réalisme l’anonymat des villes nouvelles qui effacent toutes traces du passé, moins la suite.

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