Critique – La ballade d’Ali Baba – Catherine Mavrikakis
Bien qu’il soit fantasque et égocentrique, Erina ne peut s’empêcher d’aimer son baroudeur de père qui a pourtant abandonné sa femme et ses filles. Peut-être parce qu’il lui ressemble.
Et malgré sa fuite, Vassili a de l’affection pour son aînée qui est si proche de sa mère adorée.
De Key West à Montréal en passant par Alger, la narratrice raconte la vie de cet homme qui vécut si peu avec elle. Et c’est en le retrouvant, alors qu’il est mort depuis plusieurs mois, qu’elle revient sur les rares moments passés avec lui.
Servi par une belle écriture, ce récit aux accents fantastiques est un bel hommage qui sent le vécu.
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