Critique – Nation Pigalle – Anne Plantagenet
Comment un incendie déclenché par une vielle dame désespérée va bouleverser la vie d’habitants d’un quartier. Timothée, son fils, est marié à Sabrina mais ne l’aime plus. Il a donc une maîtresse, Gaïa. Vincent et Louisa sont mariés depuis peu après l’échec de leur première union. Ils ont un petit garçon et leur liaison est idyllique. Jusqu’à ce que Louisa, tourmentée depuis son adolescence par une libido effrénée, succombe à ses démons. Voilà en gros le pitch. C’est cousu de fil blanc, on n’y croit pas une seconde. C’est plutôt bien écrit même si l’absence de virgules pourra en déconcerter certains. Mais c’est long, long, long…
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