Critique – Nager sans se mouiller – Carlos Salem

Critique – Nager sans se mouiller – Carlos Salem


Juanito, cadre supérieur dans une multinationale, est un homme ordinaire en apparence. Mais, accessoirement, il est tueur à gages. Séparé de son épouse, il projette de partir en vacances avec ses deux enfants. Mais, voilà, on lui confie un contrat de dernière minute.

Débarqué dans un camp de naturistes, il retrouve son ex-femme accompagnée de son amant, célèbre juge antiterroriste, ainsi que Tony, son ami d’enfance à qui il a crevé un œil et provoqué l’amputation d’une jambe. Il rencontre également une mystérieuse jeune femme dont il tombe amoureux.

Emballée par « Aller simple » pour son originalité et son côté loufoque, j’ai moins aimé cet opus de Carlos Salem. L’extravagance fonctionne moins. Même si la description de la schizophrénie du personnage principal, hésitant entre aspiration à une vie normale et poursuite de son activité fort rentable de tueur, est plutôt bien vue.

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