Critique – L’effet papillon – Jussi Adler Olsen

Critique – L’effet papillon – Jussi Adler Olsen


Le trio infernal – Carl, Assad et Rose – ne serait-il pas en train de tourner un peu en rond avec cette cinquième enquête du département V ? Deux histoires parallèles vont se dérouler et finir par se rejoindre. La première nous emmène au Cameroun sur fond de détournement d’argent de l’aide au développement. Bilan des malversations : quelques cadavres, dont celui de William Stark que sa famille continue à rechercher.

La seconde met en scène Marco, un jeune garçon très intelligent, qui, après la découverte du corps enterré de William, décide de fuir sa famille, une famille un peu terrifiante dirigée d’une main de fer par l’oncle Zola qui n’hésite pas à couper la jambe d’une gamine pour apitoyer les passants !

Carl, le flic ronchon, s’appuie sur ses deux acolytes pour mener ses investigations. L’équipe qu’on aime voir évoluer est presque en retrait par rapport aux autres personnages. Rose s’est assagie. Reste Assad au passé toujours aussi énigmatique. Quant à l’intrigue, elle est rondement menée mais souffre de longueurs.

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