Alors que « L’embellie » m’était tombé des mains, j’ai voulu, sous l’avalanche de critiques élogieuses, lire le dernier roman de cette écrivaine islandaise. Même si j’en ai terminé la lecture, je reste sur ma faim, pas emballée par l’histoire de Maria, une femme belle, intelligente, travaillant dans l’humanitaire, mère d’adorables jumeaux, qui se fait quitter par son mari attiré par les hommes…

Pour surmonter cette épreuve, elle se fait aider par sa voisine Perla, une naine nègre d’un auteur de romans policiers et, accessoirement, conseillère conjugale…

Heureusement que ce livre style Harlequin amélioré bourré de métaphores lourdingues se déroule en Islande avec son climat dur, ses nuits qui n’en finissent pas, sinon je pense que je l’aurai refermé aussi sec.