En nommant « Ils étaient sept » le premier volume de la série « Le Club des amateurs de romans policiers », Christina Larmer a fait un clin d’œil ironique au livre« Dix petits nègres » absurdement rebaptisé « Ils étaient dix ».

Fan de rompols, Alicia s’est décidée à créer un club d’amateurs de romans policiers pour partager sa passion.

Après avoir recruté ses membres par courrier, elle les réunit pour la première fois dans la maison qu’elle partage avec sa sœur Lynette et son chien Max, prénom du second mari de la reine du crime.

C’est sous les auspices d’Agatha Christie que s’ouvre le premier échange.

Envisagé au départ comme un moyen d’évoquer ses derniers coups de cœur dans une ambiance bon enfant, le club se transforme en cellule d’enquête après la disparition de l’une de ses adhérentes.

C’est en s’inspirant du détective Hercule Poirot et de la biographie de l’autrice du « Crime de l’Orient-Express » que les apprentis limiers vont résoudre l’énigme.

Sans prétention, ce roman se lit d’une traite. On attend avec une certaine impatience la sortie du prochain volume pour retrouver le couple atypique que forment les deux sœurs.