littérature italienne
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Critique – La Peau – Curzio Malaparte – Denoël
Avec « La Peau » Curzio Malaparte a offert au monde l’un des livres les plus puissants jamais écrits sur la guerre.
Critique – Tasmania – Paolo Giordano – Le bruit du monde
Le narrateur est en pleine crise de la quarantaine : les relations avec sa femme, plus âgée que lui, se délitent ; ses rê…………….LIRE LA SUITE
Critique – La Malnata – Beatrice Salvioni – Albin Michel
Dès la scène inaugurale du viol de Francesca et de la mort de son auteur dont Maddalena serait responsable (« Je voulais …………….LIRE LA SUITE
Critique – La Faute – Alessandro Piperno – Liana Levi
En fin connaisseur de Marcel Proust auquel il a consacré deux essais, Alessandro Piperno est certainement habité par le s…………….LIRE LA SUITE
Critique – L’Illusion du mal – Piergiorgio Pulixi – Gallmeister
Saisie d’une envie de dépaysement et de renouer avec le thriller, genre que j’avais abandonné ces derniers temps, j’ai ch…………….LIRE LA SUITE
Critique – L’eau du lac n’est jamais douce – Giulia Caminito – Gallmeister
Après le puissant « Un jour viendra » (2021), Giulia Caminito nous offre, avec « L’eau du lac n’est jamais douce », une l…………….LIRE LA SUITE
Critique – Une affaire italienne – Carlo Lucarelli – Métailié
C’est la première fois que je rencontre le comm…………….LIRE LA SUITE
Critique – Un jour viendra – Giulia Caminito – Gallmeister
« On l’appelait l’enfant mie de pain parce qu’il était le fils du boulanger et qu’il était faible ». Malgré sa fragilité,…………….LIRE LA SUITE
Critique – L’ange de Munich – Fabiano Massimi – Albin Michel
Après l’Américain Ron Hansen et sa « Nièce d’Hitler » édité en 2006, c’est au tour de l’Italien Fabiano Massimi de se pen…………….LIRE LA SUITE
Critique – M, l’enfant du siècle – Antonio Scurati – Les Arènes
« M, l’enfant du siècle » est le premier volume d’une trilogie que Antonio Scurati a choisi de consacrer à Benito Mussolini.