Critique – LaRose – Louise Erdrich – Albin Michel
Par accident Landreaux tue Dusty, le fils de son ami Peter. Respectant une tradition de son peuple ojibwé, il « donne » son fils LaRose à la famille en deuil.
L’auteur décrit très bien le manque et l’absence ressentis par les différents protagonistes. En revanche, les évocations surnaturelles, les retours dans le passé et les digressions sur le personnage de Romeo bouffé par les drogues m’ont agacée.
Après « La malédiction des colombes » que j’avais trouvé un peu emberlificoté, je conclus que j’ai un problème avec Louise Erdrich. Je n’arrive tout simplement pas à rentrer dans son univers. Pas grave.
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