Critique – Trois vies par semaine – Michel Bussi – Presses de la Cité
C’est sur les terres natales d’Arthur Rimbaud que s’ouvre le dernier roman du prolifique Michel Bussi. En contrebas d’une falaise des Ardennes est découvert un cadavre.
Dépêchée sur les lieux, la fantasque capitaine Katel Marelle prend en charge l’affaire. Le mort ayant ses papiers d’identité sur lui, l’enquête promet d’être simple. Sauf que les gendarmes découvrent deux autres permis de conduire avec la même photo et la même date de naissance. Seuls les patronymes et les lieux de naissance diffèrent : Renaud Duval, la dépouille « officielle », est né à Charleville-Mézières, Pierre Rousseau à Paris et Hans Bernard en Lozère.
Comment un même homme peut-il être être né le même jour dans trois endroits différents ? Telle est la question à laquelle va répondre « Trois vies par semaine » en invitant des marionnettes, objets inanimés auxquels des mains expertes insufflent la vie, véritable fil rouge du récit.
On sait que Michel Bussi a l’indéniable talent de rendre le lecteur addictif avec ses histoires extravagantes qu’il agrémente du fameux twist qui est sa marque de fabrique. Mais cette fois-ci, pour la première fois, j’ai trouvé la solution de l’énigme bien avant la fin, d’où une petite déception.
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