Critique – Seuls les vivants – Lou Berney – Harper Collins noir
Tout d’abord, merci à Babelio et aux éditions Harper Collins de m’avoir permis de lire ce roman.
Eté 1986. Deux drames ébranlent Oklahoma City : six personnes sont tuées dans le braquage d’un cinéma, une seule sera épargnée ; quelques jours plus tard, Genevieve, 17 ans, disparaît lors d’une fête foraine sous les yeux de sa petite sœur.
Vingt-six plus tard, le miraculé de la tuerie, désormais habitant de Las Vegas et détective privé sous une nouvelle identité, est dépêché par un client dans la ville de son enfance. La mission de Wyatt : découvrir qui en veut à la fantasque Candace, toute jeune héritière d’un bar.
Dès son retour à OC, les souvenirs du massacre le harcèlent ainsi que la question obsédante : pourquoi ai-je échappé à la mort ?
Non loin de là, la gamine qui attendait sa sœur tant admirée est désormais infirmière à l’hôpital local. Elle aussi est hantée par le passé et cherche à tout prix, et même au péril de sa vie, à savoir ce que Genevieve est devenue.
En dehors du récit bien mené des enquêtes parallèles, j’ai bien aimé les personnages de Wyatt et de Julianna qui, pour des raisons différentes, refusent d’oublier ceux qu’ils ont aimés.
Après « November Road » (2019) et « Seuls les vivants », Lou Berney est bien une voix qui compte dans l’univers du rompol anglo-saxon.
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